Le statut d'indépendant, attribue au vendeur à domicile la possibilité de vendre les produits au nom et pour le compte de Viva Beauty. Le vendeur agit alors en tant que micro-entrepreneur. Il n’a pas de lien de subordination avec l’entreprise. Il est totalement libre de s’organiser comme il l’entend d’exercer son activité à temps choisi et de fixer ses propres objectifs de vente. 

Dans ce type de contrat, le vendeur à domicile ne prend aucun risque, car Viva Beauty reste propriétaire de ses stocks. On se charge donc des livraisons et des encaissements. Le conseiller n’achète pas les produits à l’entreprise pour les revendre par la suite.  Il ne gère ainsi aucun stock et commercialise les produits au prix catalogue indiqué sur vivabeauty.fr. Il n’a donc pas d’investissement à réaliser.

Devenir conseiller indépendant permet ainsi d’allier autonomie, liberté et simplicité en matière de contraintes administratives. Ce statut permet également de cumuler une activité professionnelle salariée en CDD et CDI, un contrat étudiant, ou d’avoir un revenu en supplément de ses allocations chômage ou des aides proposées par la CAF. 

Chez Viva Beauty, nous accordons le droit aux conseiller.ère de faire de l’achat/revente s’ils le souhaitent, en leur accordant une remise immédiate lors de leurs commandes. 

Chez Viva Beauty, vous êtes considéré comme travailleur indépendant et non salarié. Vous devez vous enregistrer auprès de l’Urssaf. Nous avons privilégié ce statut pour nos conseillers, car il réunit le mieux sécurité et indépendance. Démarches administratives simplifiées, flexibilité, aucune condition de diplôme ou d’expérience préalable… Une infinité d’avantages s’offre à vous. Jugez plutôt.

Pour cela, vous avez le choix entre le statut de micro-entrepreneur (auto-entrepreneur, EIRL…) ou le statut de VDI. 

Nous vous conseillons fortement le statut de micro-entrepreneur, qui bénéficie d’un régime social et fiscal simplifié. Il offre des avantages certains, ainsi, pour débuter votre activité, nul besoin de procéder à des démarches compliquées. Il vous suffit de vous rendre sur le site Guichet Unique pour déclarer votre activité à l’URSSAF et obtenir votre numéro de SIRET. Vous devrez ensuite déclarer mensuellement ou trimestriellement, au choix au moment de votre inscription, vos revenus sur le site autoentrepreneur.urssaf.fr. 

Le conseiller indépendant doit effectuer sa déclaration en ligne sur le site Guichet Unique INPI dans les 30 jours suivant le début de l’activité. Celle-ci lui permet de bien être identifié auprès des services fiscaux et de se voir attribuer un code APE et un numéro SIRET. L'inscription est gratuite avec l'option micro-entreprise. 

Selon ton cas, il faut que tu déclares la vente à domicile par extension de ta micro-entreprise. Tu garderas le même numéro de SIRET pour les deux activités. Nous te conseillons de te rapprocher de l’organisme dont tu dépends afin d’avoir de plus amples informations car chaque situation est spécifique et particulière.

Si tu effectuais déjà de la vente avec ta micro-entreprise, aucune nouvelle déclaration est necessaire. 

Les vendeurs directs travaillent généralement sous un statut d’indépendant complémentaire (en complément d’un premier emploi). Ils peuvent cependant travailler dans le secteur comme indépendant à titre principal, voire à titre tout à fait occasionnel.

Pour démarrer son activité indépendante, un vendeur doit simplement s’inscrire, via un guichet d’entreprise, à la Banque-Carrefour des Entreprises. Il recevra alors un numéro d’entreprise. Le coût de l’inscription est de 87 euros.

En France : 

Le Conseiller.ère est un travailleur indépendant au regard de l’administration fiscale, il est donc imposé sur le revenu. Si le montant des commissions ne dépasse pas un certain plafond (77 700 € HT en 2025), ses revenus sont à déclarer sous un régime spécial d’imposition, le « micro-BIC », qui lui permet de bénéficier d’un abattement de 71% au titre des frais professionnels. 

En Belgique : 

S’il s’agit d’une activité indépendante strictement occasionnelle, le vendeur direct doit déclarer ses revenus nets dans sa déclaration fiscale. Considérés comme des “revenus divers” , ils seront dans ce cas imposés distinctement au taux de 33%. 

S’il s’agit d’une activité indépendante complémentaire ou principale, les revenus nets du vendeur direct seront taxés comme des revenus professionnels entre 25 et 50% selon les cas. 

Il est cependant à noter que la première tranche de 6040 euros de revenus est exonérée d’impôt.

En parlant de votre nouvelle activité de conseiller.ère à vos proches, vous allez naturellement avoir des opportunités : d’expliquer ce qui vous plait dans la société que vous avez choisie, de raconter son histoire, de faire essayer les produits… Et des occasions d’inviter vos proches, famille, voisins, amis à vos premières réunions de vente. Et ensuite en vous appuyant sur vos clientes et hôtesses pour élargir votre réseau !

Nos conseiller.ères sont indépendantes et totalement libres d’organiser leur emploi du temps. Chaque conseiller.ère y consacre donc le temps qu’il souhaite, que ce soit seulement quelques heures par mois ou un temps plein ! Cela dépend donc évidemment du temps disponible et des objectifs qu’on se fixe !

Nous accueillons toutes les personnes motivées, sans condition de diplôme et d’expérience. Ce qui compte c’est surtout d’avoir une attirance pour nos produits, un bon sens commercial et relationnel, et l’envie de faire !

Oui ! Le statut de conseiller.ère est cumulable avec la plupart des situations : activité salariée ou non salariée, retraite, chômage, congé parental à temps partiel… Les exceptions à cette règle générale de cumul sont limitées aux arrêts de travail, aux fonctionnaires à temps plein qui doivent faire une demande de dérogation ainsi qu’aux professions réglementées qui interdisent l’exercice d’une activité commerciale.

En France : 

L’activité de conseiller.ère est cumulable avec le chômage. Si tu as commencé ton activité de conseiller.ère avant de t’inscrire à France Travail, tu pourras cumuler intégralement ton allocation d’aide au retour à l’emploi (ARE) et tes commissions dans la limite du salaire de référence. Si tu débutes ton activité après ton inscription à France Travail, il est possible que celui-ci recalcule tes droits ou les décale dans le temps. Nous te conseillons de te rapprocher de ton agence France Travail afin d’avoir de plus amples informations. 

En Belgique : 

Le demandeur d’emploi peut commencer une activité de conseiller.ère à titre occasionnel ou principal. Le conseiller qui exerce à titre tout à fait occasionnel doit veiller à en informer le bureau de l’Onem. Il conserve dans ce cas ses droits aux allocations sauf pour les jours de démonstration. Si le demandeur d’emploi opte pour une activité en vente directe à titre principal, il renonce alors à ses allocations chômage et se consacre pleinement à son activité.

Le RSA est entièrement cumulable avec les revenus d’activité du conseiller dès lors que le plafond des ressources cumulées du foyer (revenus d’activité de conseiller.ère compris) n’est pas dépassé. Le conseiller devra mentionner les revenus de son activité sur la déclaration trimestrielle qu’il adresse à la CAF. Nous te conseillons de te rapprocher de l’organisme dont tu dépends afin d’avoir de plus amples informations.

Nous croyons à la valeur de l’expérience que procure la vente à domicile à travers les réunions et à la puissance du digital pour prolonger l’expérience de nos client.es. Nous fournissons tous les outils et supports pour permettre à nos conseiller.ères de travailler en physique et/ou en digital suivant leurs besoins et préférences.

Nous sommes fiers de permettre à tout d’entreprendre sans risque, en particulier financier. Le statut de conseiller.ère indépendant.e  permet d’éviter d’investir dans du stock : pas d’argent à sortir, pas de risque d’invendus. L’inscription est gratuite, nous demandons simplement de préférence d'acheter quelques produits pour avoir toutes les chances de réussite et découvrir les produits pour mieux en parler. 

L’essentiel est de connaître parfaitement les produits cosmétiques (et les avoir testés) pour pouvoir conseiller ses clientes, en fonction de leurs habitudes, types de peaux, cheveux… Un bon sens relationnel ainsi que des compétences commerciales sont aussi importantes pour convaincre ! La société de pourra donner les formations nécessaires, l’accompagnement de la marraine est aussi clé !

C’est un vrai métier qui consiste à vendre des produits cosmétiques directement auprès des particuliers. Le gros avantage est que le conseiller.ère peut l’exercer depuis son domicile au rythme qui lui convient et être rémunéré via des commissions sur son chiffre d’affaires. Cela peut donc constituer un complément de revenu ou un vrai salaire quand il est exercé à temps plein.

Vous avez l’obligation de créer un compte dédié à l’activité si votre chiffre d’affaires a dépassé pendant 2 années civiles consécutives un montant de 10 000 €.

Un compte bancaire dédié n’est pas un compte professionnel. En pratique, il s’agit d’un autre compte personnel uniquement relié à votre activité professionnelle. Ce compte est distinct du compte courant que vous utilisez pour vos dépenses privées afin que vos transactions personnelles et professionnelles soient différenciées.

Vous pouvez ouvrir un compte bancaire en ligne gratuit. 

Il est possible de cumuler plusieurs activités de vente à domicile indépendante quelque soit le domaine. Il ne doit toutefois pas y avoir de rapprochement ou confusion dans tes communications autour des différentes marques représentées.

Il est possible d’exercer l’activité de Conseiller.ère depuis la Réunion, La Martinique et la Guadeloupe.